Plus récemment, un fait inhabituel a été établi. Il s'est avéré que l'utilisation régulière de contraceptifs réduit le développement du cancer de l'ovaire chez les femmes.
Les scientifiques ont révélé qu'en comparaison avec les indicateurs moyens de 100 000 femmes qui utilisent des contraceptifs oraux depuis 10 ans ou plus, l'incidence du cancer de l'ovaire est inférieure de 12 personnes.
Les statistiques ont permis aux scientifiques de faire l'hypothèse que certaines substances contenues dans les contraceptifs sont un véritable moyen de prévention du cancer, et sur leur base, vous pouvez créer des médicaments spécialisés, voire des vaccins. Cependant, une nouvelle étude statistique a rapidement dissipé ce mythe.
Il a été constaté que les contraceptifs oraux ne sont bénéfiques que pour le risque de développer un cancer de l'ovaire, alors que la probabilité de développer d'autres cancers n'a en réalité aucun effet. De plus, les scientifiques ont trouvé avec étonnement que dans les statistiques générales des cancers, les femmes utilisant des contraceptifs sont au contraire à risque, puisque dans le cas du cancer du sein, les mêmes 100 000 femmes représentent 50 cas de cancer plus, en comparaison avec les indicateurs moyens. Ainsi, il est facile de calculer qu'à la fin, il y a 38 cas de cancer de plus pour 100 000 femmes qui utilisent régulièrement des médicaments hormonaux pour prévenir les grossesses non désirées que dans le cas des femmes utilisant d'autres méthodes contraceptives.
Parallèlement à cela, les scientifiques exhortent les femmes à s'abstenir de prendre des pilules contraceptives, car ils peuvent provoquer des caillots sanguins. Ce fait a été prouvé depuis relativement longtemps et concerne principalement les médicaments hormonaux contenant des substances telles que la drospirénone, le désogestrel ou le gestodène. Et si la probabilité de développer un cancer, ces médicaments commencent à affecter, seulement 10 ans après le début de leur utilisation, dans le cas de caillots sanguins c'est un terme beaucoup plus court - selon les scientifiques, il est d'environ 3-5 ans, selon la nature de l'organisme.
Basé sur des matériaux de BBC Health
Préparé par Vladislav Vorotnikov